Nicolas Gary examine les défis liés à l’état du financement des arts au Canada:

« Si les États sont de plus en plus frileux pour financer les idées politiques – de crainte des dérives extrémistes, sectaires ou autre – le revers de la médaille est que la pensée humaniste en souffre de la même manière. « On comprend que le gouvernement soit préoccupé de voir son logo sur des textes d’extrême-gauche ou d’extrême-droite. Et cela pose la question : comment la réflexion politique peut-elle être financée par l’État ? », interroge Nicolas Levesque. »

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